son héros surmonte toutes les épreuves sur le chemin de la bonté et de l’épiphanie. Le livre de Soljenitsyne n’avait pas un thème aussi optimiste. A la fin de l’histoire, le protagoniste se couche content, mais pour lui la source du bonheur était simplement qu’il n’avait pas été mis en cellule disciplinaire et qu’il n’était pas tombé malade. « Dieu merci, un autre jour est terminé ! » Choukhov soupire dans le livre.
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