Arrêt administratif automatique Equfrance. L’actualité 2018

La restriction administrative est une procédure qui implique le blocage d’un actif mobile enregistré dans les registres publics, afin de collecter des crédits impayés. Quelle est la situation des arrêts administratifs automatiques pour 2018 ?

Le dispositif de retenue administratif automobile 2018

Les

administrations ou organismes compétents (Municipalités, INPS, régions, État, etc.), par l’intermédiaire des négociants de la collecte, afin de percevoir des crédits impayés, peuvent disposer d’un dispositif de retenue d’actifs mobiliers enregistré appartenant au débiteur ou au coobligé.

Les crédits impayés peuvent se référer à des taxes ou à des taxes (par exemple, une TVA non payée, un IRPEF, un tampon de voiture, des cotisations INPS, des frais RAI, etc.) ou des amendes liées à des violations du Code de la route.

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Restrainte auto-administrative : enregistrement et conséquences

L’agence de recouvrement de créances peut alors organiser le débit des véhicules payables au débiteur, en cas de non-paiement du dossier de créance conformément à la loi (60 jours à compter de la notification). Cela se fait par l’enregistrement de la restriction administrative au Registre public de l’automobile (PRA).

L’enregistrement du loquet détermine une limitation de la disponibilité du véhicule. En fait, ces derniers ne pourront pas :

  • circulaire (une pénalité devrait être défectueuse)
  • être éliminé de PRA, de sorte qu’il ne peut pas être démoli ou exporté à l’étranger ;
  • en cas de vente après l’enregistrement du dispositif de retenue, faire circuler et être vidé par l’ARP.

La violation de ce qui est prescrit entraîne l’imposition d’une sanction administrative allant de 1 988 à 7 953 euros, en plus de la saisie du véhicule. Si le débiteur continue de payer, le concessionnaire de recouvrement peut agir de force pour vendre le véhicule.

L’arrêt no 47/2017 de la Cour constitutionnelle a précisé que le cachet de la voiture est payé même si le véhicule fait l’objet d’un arrêt administratif. En fait, l’enregistrement au PRA de l’entreprise n’interrompt pas ou ne suspend pas l’obligation fiscale.

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Nouvelles 2018 sur les procédures de contention administrative

Les méthodes d’application du changement de loquet. En fait, un seuil minimum est fixé en dessous duquel l’établissement de collecte ne pourra pas soumettre un véhicule à un arrêt administratif.

  • si le montant de la dette est inférieur ou égal à 800 euros, l’établissement ne pourra pas enregistrer le retenue
  • si la dette est comprise entre 800 et 2 000 euros, vous pouvez enregistrer le dispositif de retenue mais sur un seul véhicule
  • dans le cas où la dette se situe entre 2 000 et 10 000 euros, ils peuvent être placés en détention jusqu’à 10 .000 euros, l’établissement de recouvrement sera en mesure de bloquer tous les véhicules du débiteur

Comment annuler les restrictions administratives

Une fois que le retenue a été enregistré, le contribuable peut demander le versement de la dette. Si la demande est acceptée, l’Agence de recouvrement des recettes (anciennement Equfrance) suspendre la restriction administrative. Il ne s’agit pas d’une révocation ou d’une annulation, car la détention ne sera définitivement annulée qu’après le solde total de la dette. À l’exception du cas où le véhicule joue un rôle déterminant dans l’activité professionnelle ou professionnelle.

Pour l’annulation de la détention, une série de documents doit être soumise à n’importe quel bureau provincial de l’ARP. En particulier :

  • la mesure de révocation initiale contenant les données du véhicule, du débiteur et le montant du crédit pour lequel l’annulation est demandée. Ce document est délivré par le marchand de recouvrement après avoir réglé la dette pour laquelle la détention a été enregistrée ;
  • le certificat de propriété (CDp) ou le certificat de propriété numérique (CDDP), au verso duquel remplissent la note de demande ou la fiche complémentaire ;
  • le modèle NP-3 (si vous n’utilisez pas le CDP ou le CDDP comme note de demande).

Pour procéder à l’annulation, il est nécessaire de payer le droit de timbre à l’ARP, qui peut être alternativement égal à :

  • 32,00 euros, si vous utilisez le dos du CDP ou du CDDP comme note de demande ;
  • 48,00 euros, si vous utilisez le modèle NP-3 comme note de demande.

Si la demande est acceptée, le dispositif de retenue est supprimé et le nouveau certificat de propriété numérique (CDDP) est émis.

Comment vérifier l’enregistrement d’une restriction administrative

En demandant une plaque d’immatriculation en ligne PRA, il est possible de vérifier le statut juridique actuel de la propriété mobile enregistrée et, par conséquent, s’il existe des blocs administratifs. En particulier, la mesure permet d’obtenir un document officiel délivré par l’ARP contenant toutes les informations relatives à un véhicule (véhicule à moteur, véhicule à moteur ou remorque) ainsi qu’à la présence de tout fardeau et hypothèque.

© Reproduction réservée

Gaston Alexandre

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