Le décret de croissance, approuvé le 23 avril dernier, introduit la peine pour amendes et taxes locales non encore perçues à la suite de mesures d’ordre fiscal. Voyons comment la mise au rebut de ces hommages fonctionnera.
Le décret de croissance n’a pas encore été publié au Journal officiel, mais tout le monde se prépare à recevoir les nouvelles qui seront bientôt appliquées. Parmi ceux-ci, la possibilité pour les autorités locales, telles que les régions, les provinces, les villes métropolitaines et les municipalités, d’établir le paiement facilité des taxes locales pour tous ceux qui participent à cette ferraille, ainsi que le nombre de versements dans lesquels la dette sera divisée, avec un délai de 30 Septembre 2021 pour le payer.
Le recyclage des injonctions comprend des mesures d’injonction ou des rôles notifiés entre 2000 et 2017 par les organismes compétents. La collecte couvre au-delà des taxes de l’État, aussi l’IMU, l’IRAP, Tasi, la taxe sur les déchets, le Cosap, Tosap et les amendes de voiture.
Comment fonctionne la condamnation pour les amendes et taxes locales
Cependant, le décret n’établit pas les règles de la mise à la casse. Celles-ci, en ce qui concerne l’autonomie des autorités locales, seront délibérées par les régions, les provinces, les villes métropolitaines et les municipalités dans les 60 jours suivant l’entrée en vigueur du décret de croissance.
Les modes de fonctionnement ne seront donc pas connus avant la fin du mois de juin. Dans les 30 jours suivant l’approbation de la résolution, les institutions devront publier les nouvelles sur le site Web de l’établissement et fournir toutes les informations nécessaires aux contribuables. Il s’agit notamment des critères, des méthodes et des délais de soumission des demandes d’adhésion et les méthodes de paiement relatives pour faciliter les dettes.
Il devrait payer le montant dû sans pénalités ni intérêts. Toutefois, ceux qui ne paient pas les paiements dans les conditions établies ne pourront plus profiter de la définition facilitée. Cela signifie que les délais de prescription et de confiscation reprendront en faveur du créancier, auquel le droit de prendre des mesures de recouvrement est reconnu. Le montant versé jusqu’à ce point sera considéré comme un dépôt le plus dû.