La société Venezia Spiagge, qui gère deux rives dans la capitale de la Vénétie, remporte son litige contre la Revenue Agency pour la détermination de la pension cadastrale.
Il est
erroné de déterminer le loyer des biens cadastraux d’un bain public en ne comptant que sur les frais de concession de l’État. En fait, le loyer n’est pas comparable à celui des baux. Pour l’affirmer, non sans faire sensation, c’était la Commission fiscale provinciale de Venise, qui, investie dans cette affaire, a jugé en faveur de la société de Venise. Plages.
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La question au cœur du procès conteste pour déterminer la pension cadastrale des établissements balnéaires !
Le différend a été opposé par la société Venezia Spiagge, filiale de la ville de Venise responsable de la gestion des plages Blue Moon et San Nicolò al Lido, et l’Agence Revenue.
Le partenariat vénitien a confirmé ses demandes concernant la détermination de la pension cadastrale pour le calcul de l’IMU des établissements balnéaires.
La Commission fiscale provinciale de Venise, présidée par le juge Giuseppe Caracciolo, a accepté l’appel de la société qui gère les établissements balnéaires de deux plages vénitiennes et a annulé l’évaluation de la détermination de la pension cadastrale aux fins du paiement de l’IMU entre 25 et 30 ans. mille euros par an.
Quel était le raisonnement de la Commission fiscale de Venise ?
Tout vient de la présomption de l’Agence du revenu d’établir pour un montant de 662 000 euros pendant 6 ans la pension cadastrale totale à verser aux autorités fiscales par la Venezia Spiagge Society.
La pension avait été calculée à partir des frais de l’État, mais la commission fiscale, acceptant pleinement la thèse de la défense, a rejeté cet avis, affirmant que « pour déterminer le cadastre de la pension, il est faux de se fier aux frais de concession de l’État, car « les frais gouvernementaux ne sont pas comparables aux baux ».
Comment ce raisonnement est-il arrivé à la pension cadastrale des établissements balnéaires ?
La décision précise que, selon la décision du comité, les frais gouvernementaux ne peuvent pas être considérés comme une expression du marché libre.
Les frais de gouvernement doivent plutôt être calculés à partir d’un raisonnement unilatéral de l’administration de l’État, en gardant à l’esprit que l’administration publique poursuit avant tout des objectifs de nature sociale, laissant les motivations économiques résiduelles.
Source : MondobalNeare.com