Empilage des bâtiments étudiés dans le cadastre foncier

L’Agence du revenu publie la liste des bâtiments ruraux étudiés auprès du cadastre foncier. L’obligation d’empilage s’applique à tous les détenteurs de droits réels. Au cours des prochaines semaines, l’Agence du revenu enverra une lettre de rappel à tous les propriétaires. Découvrez comment régulariser votre propriété dans le cadastre.

Pratiques d’empilage des bâtiments

Les propriétaires de bâtiments ruraux doivent prévoir l’empilage de leurs propriétés dans le cadastre du bâtiment. Le cadre réglementaire en la matière remonte au décret royal n° 652 de 1939 jusqu’à la dernière loi n° 214 de 2011. La date limite à respecter (30 novembre 2012) a maintenant expiré. Cependant, il est possible de recourir à l’institut du repentir industrieux avec des sanctions réduites. En fait, la loi de stabilité de 2015 prévoyait une amende de 172€, soit 1/6 du minimum. Le rappel que l’Agence du revenu se prépare à envoyer aux propriétaires permettra de guérir le poste avec la pénalité minimale. Il ne s’agit pas d’un avis d’évaluation, mais d’une invitation de bonne humeur à répondre, pour le moment.

Comment prendre en compte la pratique de l’empilage

Le caractère « rural » des bâtiments est défini par la loi n° 133 de 1994 : possession, utilisation, superficie, chiffre d’affaires et typologie. Certaines de ces exigences peuvent être vérifiées dans le cadastre. Les propriétaires de bâtiments ruraux sont donc tenus de vérifier à l’avance comment leur propriété est enregistrée dans le cadastre. Grâce à un examen cadastral en ligne, il est possible de vérifier :

  • si la propriété est réellement enregistrée dans le cadastre ou non
  • si le bien est enregistré au registre foncier ou aux bâtiments du registre foncier
  • catégorie cadastrale, classe et revenu cadastral
  • la surface du bâtiment
  • les détenteurs de droits réels, la nature et l’action

Comme il s’agit de bâtiments souvent situés dans des zones extra-urbaines, il est nécessaire d’identifier leur emplacement. Dans le cadastre, il est possible de vérifier l’emplacement du bâtiment en fonction des conditions routières, des terrains voisins ou d’autres bâtiments. Avec un extrait de carte, vous disposez d’un plan qui identifie l’emplacement exact, la forme, l’orientation et les limites.

Les

catégories cadastrales A/1 (logements seigneuriaux) et A/8 (villas) sont exclues des bâtiments ruraux. De plus, les éléments suivants sont exclus de l’obligation d’empilage :

  • bâtiments d’une superficie couverte de moins de huit mètres carrés.
  • serres pour la culture agricole
  • réservoirs de stockage pour l’agriculture et pour , c’est-à-dire la porcherie, les poulaillers, les hangars, les hangars d’une hauteur inférieure à 1,8 mt. et dont la surface intérieure est inférieure à 150 cm.
  • artefacts sans fondations et sans luminaires au sol
  • immobilier en construction
  • fabriquées dans un état de dégradation et de collabation

Après ces vérifications préliminaires, un technicien qualifié doit être informé de qui effectuera la pratique de l’empilage. Au cadastre terrestre, à la suite d’une plainte concernant la variation de Pregeo, la carte cadastrale est mise à jour. Nous procéderons ensuite à l’insertion du bâtiment rural dans le cadastre Fabricati par le biais d’une pratique Docfa.

Gaston Alexandre

En tant que travailleur indépendant, j’ai décidé de me lancer dans la rédaction d’articles basée sur le buzz international. Je traite ainsi différents sujets, et particulièrement ceux qui ont suscité un énorme engouement dans la société mondiale. J’écris ainsi des articles concernant les thématiques à fort caractère, c’est-à-dire qui créent un véritable impact émotionnel chez le lecteur. Le nombre d’articles que j’écris est variable au quotidien. L’objectif étant de fournir le maximum d’informations pertinentes du jour, vous pouvez alors découvrir de nombreuses publications d’une douzaine de lignes par article.
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