Fiscalité des actes judiciaires et calcul des impôts. Guide complet.

La

taxation des actes judiciaires, ainsi que le calcul des impôts, sont un argument selon lequel, tôt ou tard, il est nécessaire de traiter dans la vie d’une personne.

La réalité nous fait face à des situations et à des choix, qui doivent parfois payer un impôt, et trouver comment calculer ces impôts peut s’avérer utile.

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Tout ce que vous devez savoir sur la fiscalité des actes judiciaires et le calcul des impôts.

Mais allons-y dans l’ordre. Décret du Président de la République n° 131 de 1986 (texte du registre unique ou T.U.R.) en main, les actes judiciaires doivent être soumis à une taxe d’enregistrement, et ils doivent le faire indépendamment de la gripabilité possible.

Nous ne nous trompons donc pas très bien si nous disons que presque tous les actes juridiques prélèvent le paiement d’une taxe, une imposition qui affecte généralement tous les actes qui concluent une procédure judiciaire ou les actes qui concluent une phase de jugement.

Ces actes doivent être soumis à un dossier juridique et, au moment exact où le jugement est rendu, le greffe de la Cour envoie un avis à l’Agence du revenu demandant l’enregistrement de l’acte :

  • dans un délai de 20 jours pour les actes dans lesquels le Greffier agit en qualité de dirigeant et les décrets de transfert concernant les procédures exécutives ;
  • dans les 5 jours de condamnation pour dommages-intérêts, en ce qui concerne les procédures pénales et celles qui clôtureraient des affaires civiles.

Comment transcrire un acte judiciaire au Conservatoire RR.II.

Le service de transcription Act in Conservatory prévoit la transcription sur support informatique d’un acte public (hypothèque, décret d’injonction, forclusion, application judiciaire, etc.) via le logiciel UniMod, le dépôt au Real Estate Bureau de publicité (ancien RR.II. Conservatoire) et le retrait et la livraison du duple.

Quels sont les actes judiciaires soumis à la fiscalité ?

Conformément à l’article 37 du T.U.R., les actes judiciaires soumis à l’impôt sont les suivants :

  • les actes de l’autorité judiciaire qui définissent également partiellement le jugement ;
  • les décrets d’injonction exécutive ;
  • les mesures qui déclarent l’arbitrage sont exécutoires ;
  • les

  • jugements
  • déclarant des jugements étrangers efficaces dans l’État ; la loi sur la conciliation judiciaire et l’acte de
  • transaction extrajudiciaire dans lequel il s’agit de l’administration de l’État commence.

Quelle est la taxe un registre, comme nous l’avons déjà vu, n’est rien d’autre qu’une taxe, un véritable hommage que l’État « demande » pour l’enregistrement des actes judiciaires auprès de l’Agence fiscale.

Il s’agit d’un impôt direct, c’est-à-dire d’une taxe qui repose sur les manifestations les plus évidentes de capacité contributive, telles que le revenu ou les actifs, et qui doit être payée pour l’enregistrement public ou privé de chaque acte concernant les transferts de richesses exprimés dans les mêmes actes enregistrés.

Quels sont les montants pour l’imposition des actes judiciaires ?

Le montant est dédouané par le bureau responsable de l’Agence du revenu et peut être connu en se connectant au site Web de l’Agence du revenu (www.agenziaentrate.gov.it) — Services en ligne — Services fiscaux — Taxe sur les services sans inscription — Calcul des montants pour la taxation des actes judiciaires.

En remplissant les champs obligatoires (Office, Année de la provision de l’organisme émetteur, type et nombre de mesures) avec les données demandées, il est possible d’obtenir le montant et l’impression du F24 à présenter au paiement.

Comment calculez-vous les impôts pour la fiscalité des actes judiciaires ?

Pour connaître la taille et le montant des taxes applicables à la fiscalité des actes judiciaires, il suffit de consulter le site Web Revenue où un service de calcul en ligne pratique a été mis en place.

Nous avons déjà répété plusieurs fois que tout acte judiciaire pourrait impliquer le paiement d’une taxe. Les décrets d’injonction, les jugements, les exécutions immobilières sont tous des actes qui peuvent prévoir une imposition spécifique.

L’utilisateur qui doit payer une taxe de justice et qui souhaite connaître le montant du paiement ne fait que d’accéder à la page préparée sur le site Web de l’Agence et de calculer le montant.

Comment calculer la taxe de registre ?

Si la taxe est payable en contrepartie de l’enregistrement d’une peine pour transfert de droits réels sur des biens immobiliers ou d’autres biens et que le transfert est soumis à la TVA, la taxe est fixée en 200 euros, si la TVA n’est pas prévue, la taxe est calculée en pourcentage de 2% pour cent pour le premier foyer (à l’exclusion des catégories cadastrales A/1, A/8, A/9) et 9 % dans tous les autres cas.

Dans ce cas, la taxe doit plutôt être payée pour un acte judiciaire qui établit le transfert de terres agricoles et la pertinence pour des personnes autres que les entrepreneurs agricoles par profession et les producteurs directs, la taxe sur le registre a un taux de 12 %.

En

revanche, en ce qui concerne les taxes dues pour les condamnations de culpabilité concernant le paiement de sommes ou de valeurs, à d’autres types de services ou même à la livraison de biens de toutes sortes, le taux est égal à les arrêts du Conseil d’État ainsi que le TAR partiel, qui définissent le jugement avec une peine pour payer des sommes d’argent autres que les frais liés au procès. Pour les cas de vérification des droits au capital, le taux est plutôt fixé par le législateur à 1 %.

Si, par contre, une condamnation ne doit pas relever des affaires que nous venons d’énumérer, la taxe prévoit le paiement d’un total de 168 euros.

Le

même montant doit être payé pour les jugements déclarant l’invalidité d’un acte ou établissant son annulation, pour les jugements déclarant approbation ou pour l’enregistrement d’actes relatifs à des décisions de résiliation ou de dissolvation des effets civils du mariage ou pour la séparation personnelle.

Source : Agence du revenu

Gaston Alexandre

En tant que travailleur indépendant, j’ai décidé de me lancer dans la rédaction d’articles basée sur le buzz international. Je traite ainsi différents sujets, et particulièrement ceux qui ont suscité un énorme engouement dans la société mondiale. J’écris ainsi des articles concernant les thématiques à fort caractère, c’est-à-dire qui créent un véritable impact émotionnel chez le lecteur. Le nombre d’articles que j’écris est variable au quotidien. L’objectif étant de fournir le maximum d’informations pertinentes du jour, vous pouvez alors découvrir de nombreuses publications d’une douzaine de lignes par article.
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