Gaspillage alimentaire, la fête nationale est célébrée aujourd’hui 5 février

Le 5 février, la journée de prévention du gaspillage alimentaire est célébrée. Il a été créé pour la première fois en Italie le 5 février 2014 par le ministère de l’Environnement en collaboration avec la campagne Sprego Zero et l’Université de Bologne — Distal. Cette année, le thème de la huitième Journée nationale de prévention du gaspillage alimentaire qui s’est tenue le vendredi 5 février 2021 est « Stop Food Waste ». Une santé, une planète » Arrêtez de gaspiller de la nourriture à l’initiative de la campagne Waste Zero en collaboration avec le ministère de l’Environnement.
En particulier, d’après les premières données du nouvel Observatoire international de Waste Watcher, qui présentera son premier rapport consacré à « The Case Italy » ce vendredi 5 février, dans le cadre de la Journée nationale de prévention des déchets alimentaires, il ressort également qu’en raison de la pandémie encore en cours, les Italiens ont se sont montrés plus attentifs au gaspillage alimentaire, en particulier ils choisissent de sauver les aliments du gaspillage pour donner le signe de leur engagement durable.

Depuis 2021, la Journée nationale de prévention du gaspillage alimentaire se concentre sur la nouvelle décennie qui nous mènera à 2030. Selon les rapports Adnkronos, les objectifs de durabilité indiqués dans l’Agenda 2030 de l’ONU sont mis en évidence et, dans cette direction, il est possible de saisir la nouvelle dimension d’un instrument de référence pour la surveillance du gaspillage alimentaire en Italie, l’Observatoire Waste Watcher, qui devient aujourd’hui une réalité internationale. et prévoit une enquête mondiale qui sera présentée le 29 septembre, lors de la Journée internationale de sensibilisation aux pertes et au gaspillage alimentaire promue par les Nations Unies.

En ce qui concerne les données nationales sur les déchets, toujours selon les Adnkronos, il est souligné que le gaspillage de nourriture au niveau domestique s’élève à 4,9 euros par ménage, pour un total d’environ 6,5 milliards d’euros et un coût national d’environ 10 milliards d’euros, y compris déchets provenant de la chaîne de production/distribution 2020, plus de 3 milliards 293 millions (ceci est basé sur le rapport Waste Watcher 2020, lié aux déchets perçus). Les Italiens accordent également une attention et une prise de conscience accrues à la relation entre l’alimentation et la santé : en particulier près de 7 Italiens sur 10 (66 %) estiment qu’il existe une relation directe entre le gaspillage alimentaire, la santé de l’environnement et la santé humaine : c’est toujours le cas pour 30 % des répondants, c’est souvent 36 % et parfois seulement 20 %. Alors que lors de l’achat de nourriture, les aspects liés à la santé de celui-ci et donc à son impact sur la santé affectent de manière décisive pour 1 Italien sur 3, le , l’écho de la nourriture n’est pas seulement un phénomène italien, mais un monde entier : pensez que, selon la FAO, l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture, un tiers de tous les produits alimentaires dans le monde (1,3 milliard de tonnes de tonnes comestibles) sont perdus ou gaspillés chaque année tout au long de la chaîne d’approvisionnement. Traduite en termes économiques, cette perte correspond à environ 750 milliards de dollars. Il peut être considéré comme une sorte d’effet secondaire du système complexe d’approvisionnement alimentaire dans le monde entier.
En ce qui concerne les répercussions et l’impact de la pandémie sur le plan de la durabilité, les Italiens sont placés dans des positions diamétralement opposées : pour 51 %, l’effet est très positif, pour les 49 % négatifs très négatifs. 49 % estiment que la limitation de la mobilité était positif, ce qui freine les mouvements et les transports excessifs et réduit le trafic aérien, ainsi qu’une attention accrue portée à la santé, à la santé et au bien-être (34 %). En ce qui concerne les effets négatifs, on note l’augmentation des déchets dus aux masques (57 %) et aux achats en ligne qui a entraîné des mouvements excessifs des transporteurs et l’utilisation d’un trop grand nombre d’emballages (42 %). En outre, 37 % estiment que la durabilité a été bénie et que la possibilité d’utiliser les transports publics pour se déplacer est limitée.

Gaston Alexandre

En tant que travailleur indépendant, j’ai décidé de me lancer dans la rédaction d’articles basée sur le buzz international. Je traite ainsi différents sujets, et particulièrement ceux qui ont suscité un énorme engouement dans la société mondiale. J’écris ainsi des articles concernant les thématiques à fort caractère, c’est-à-dire qui créent un véritable impact émotionnel chez le lecteur. Le nombre d’articles que j’écris est variable au quotidien. L’objectif étant de fournir le maximum d’informations pertinentes du jour, vous pouvez alors découvrir de nombreuses publications d’une douzaine de lignes par article.
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