du bail conclu en l’absence de forme écrite est absolue. Dans le cas où la forme verbale a été imposée par le bailleur, la nullité du contrat est relative. La Cour de cassation a également été exprimée à ce sujet dans United Sections (arrêt n° 18214/2015) qui précisait comment déroger à l’insanabilité du formulaire.
Contents
- 1 La forme écrite du contrat de location
- 1.1 Le bail sous forme orale
- 1.2 Les 5 éléments distinctifs du bail
- 1.2.1 1. Le propriétaire du bien loué et peut être une personne physique ou morale. Il appartient au locataire de s’assurer que la personne qui signe le contrat en est réellement le propriétaire. Comment ? La base de données Sister de la Revenue Agency fournit aux utilisateurs des données relatives aux propriétaires de biens immobiliers. Avec un examen cadastral par sujet, vous disposerez d’un premier élément d’identification, qui n’est pas encore suffisant pour déterminer la propriété légale. Il est donc préférable d’extraire un visage hypothécaire par propriété afin de dissiper tout doute. En fait, ce n’est que par la visite au Conservatoire que l’on peut certifier la propriété réelle du propriétaire en ce qui concerne le bien loué. 2. Le chef
- 1.2.2 3. La propriété
- 1.2.3 4. Le loyer
- 1.2.4 5. Le certificat de performance énergétique, APE
- 1.3 L’enregistrement du bail
La forme écrite du contrat de location
L’un des types de violation des règles en matière de bail est précisément la forme. La législation (loi n° 431/1998) sur cette question est claire et sans ambiguïté. La forme du bail doit être écrite. Une poignée de main classique ne suffit pas dans ce cas. En fait, la jurisprudence a imposé l’exigence de la forme écrite comme obligatoire avec cinq objectifs principaux :
- donner aux parties la certitude de leurs droits et devoirs
- définir les sujets, le bailleur et le locataire, qui interviennent dans la conclusion du contrat
- identifier sans équivoque le bien loué au moyen de données cadastrales pour contrer les phénomènes d’évasion fiscale et d’évasion fiscale
- déterminer l’assiette fiscale correspondant au loyer sur lequel calculer les impôts
- pour faire ressortir les « non déclarés » dans le secteur des baux
Mais que se passe-t-il si le bail a été établi sous forme verbale et non écrit ?
Le bail sous forme orale
Le contrat conclu oralement, verbalement, est-il toujours nul ? La Cour de cassation s’est exprimée sur ce point, mais il faut distinguer deux affaires.
A. contrat sous forme non écrite pour l’imposition du bailleur
Dans le cas où le bailleur a défectueux la volonté du chef d’orchestre en faisant semblant d’éviter la forme écrite, il existe une hypothèse de nullité relative du contrat. Dans ce cas spécifique, le chef d’orchestre a le droit de demander l’application de la loi et le recalcul éventuel des frais payés. En fait, la loi n° 431/1998 accorde une protection spécifique au chef d’orchestre. En fait, le locataire peut recourir à la conformation judiciaire de la relation de location conformément à l’art. 13, co. 5, de la loi 431/1998
B. contrat sous forme non écrite à la volonté des parties
Dans ce cas, le contrat doit toujours être considéré comme invalide car vous êtes confronté à une forme de nullité absolue. Dans ce cas, la conformation du contrat avec les dispositions de la loi est exclue.
Les 5 éléments distinctifs du bail
Dans les baux, vous pouvez identifier cinq éléments distinctifs fondamentaux.