La crise des liquidités des PME se poursuit malgré les renvois fiscaux

Après trois mois d’annonces et de tactiques, n’ayant pas encore résolu le problème de la crise de liquidité de nos PME, il risque de se traduire, pour nos entreprises, un rendement inconditionnel

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La crise de la liquidité des PME

Les références fiscales ne résolvent pas le problème de la crise de liquidité des PME

« Avec le décret-loi d’août, les entrepreneurs ont attendu avec impatience que le gouvernement lance des mesures fiscales et financières capables d’assurer aux petites et moyennes entreprises qui attendaient depuis longtemps et ont toujours reporté la liquidité. La liquidité, garantie de survie des entreprises et de soutien à l’investissement, a littéralement été mise à zéro, au cours des mois précédents, par les mesures de confinement de la pandémie et niée, en même temps, des politiques initiales du gouvernement, de nature urgente, qui n’ont produit rien, sauf une lente agonie. cela entraîne la destruction du système entrepreneurial de notre pays. Ce qui est, malheureusement, également dans ce quatrième décret économique, est réduit à un nouvel enchevêtrement de report des délais fiscaux, qui ne résolvent pas, plutôt aggravent, le problème de la pénurie de liquidités ».

C’est ce qui écrit dans une étude approfondie sur le décret d’août le conseiller national d’Unimpresa, Marco Salustri, qui dénonce la poursuite de la grave crise de liquidité que les PME francennes continuent de vivre.

« Après trois mois d’annonces et de tactiques, n’ayant pas encore défini de stratégie fiscale et financière claire pouvant garantir une reprise économique rapide, risque de se traduire, pour nos entreprises, une reddition inconditionnelle au plus offrant, même à un étranger, à la fois d’origine légale et, pire encore, illicite »

Selon le conseiller national de l’Unenterprise, « un manque évident d’expérience et de connaissance de la réalité des PME signifie en outre que l’anéantissement d’un tissu entrepreneurial qui a rendu l’Italie est célèbre dans le monde et, surtout, il faut vendre un savoir-faire identitaire de notre économique et productif. Nous nous demandons, à la veille d’un incendie de septembre, si ce gouvernement est encore capable ou non de mettre en œuvre un changement décisif pour protéger notre culture et notre génie créatif, en lançant des mesures structurelles et incisives pour la reprise, c’est-à-dire des investissements stratégiques, sans se limiter à répètent des mesures contingentes et tactiques, que je ne garantis aucun avenir ».

En ce qui

concerne les contribuables qui n’avaient pas payé la TVA, les retenues à la source, les cotisations INPS et les bourses INAIL en mars, avril et mai 2020, la date limite du 16 septembre était prévue pour remplir ces chances avec pour éthérer les sommes en quatre versements mensuels.

Toutefois, ce nouveau décret prévoyait, pour les contribuables, la possibilité de payer 50 % des sommes dues, en mars, avril et mai, avant le 16 septembre en une seule solution, ou en quatre versements, et les 50 % restants à partir du 16 janvier 2021 jusqu’à un maximum de 24 versements mensuels.

Un autre report est fixé par l’article 65 de la mesure sur la prolongation du moratoire, sur les prêts et hypothèques, pour les petites et moyennes entreprises, prolongé jusqu’au 31 janvier 2021, par rapport à ce qui était prévu précédemment, soit le 30 septembre 2020. Une autre référence, dont la référence est l’article 98, est accordée pour le paiement du deuxième dépôt IRES, IRAP et IRPEF, dont le délai est généralement fixé au 30 novembre 2020.

Cette extension s’adresse aux contribuables soumis à l’ISA, dont les ventes ont diminué de 33 % au premier semestre 2020 par rapport à la même période en 2019. La date limite de paiement de ces taxes a été prolongée jusqu’au 30 avril 2021.

L’article 98 lui-même ignore donc le vaste public des contribuables qui n’appliquent pas l’ISA, tels que les employés qui devront donc payer le deuxième dépôt au plus tard le 30 novembre 2020. Pour les avis exécutifs relatifs aux recettes fiscales, il existe également des renvois inscrits à l’article 99, c’est-à-dire du 31 août 2020 au 15 octobre 2020. Le deuxième dépôt IMU pour tous les hôteliers est également annulé, à condition que le responsable de la structure soit également propriétaire.

De plus, une contribution spécifique est celle qui pourrait être apportée, toujours aux hôteliers, équivalant à 65 % des travaux visant à améliorer et à réaménager leurs installations d’hébergement. Une autre contribution, entraînant une perte d’argent, est prévue pour certaines catégories de restaurateurs qui achètent des matières premières locales, à condition qu’ils aient enregistré une baisse du chiffre d’affaires, de mars à juin 2020, soit trois quarts par rapport à celui de la même période de l’année précédente.

Source : Unimpresa

Gaston Alexandre

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