la promesse d’un développement durable

« Tout est plein d’amour » cantava Bjork, « La vie est pleine de couleurs » è come la vede KIABI. La marque française de « mode low-cost pour toute la famille » a lancé une nouvelles capsules « verte »produit avec coton issu de l’agriculture biologique. Couleurs pastel et personnages Disney colorent les tops, shorts et cabas avec la légèreté d’un futur possible. La collection s’inscrit dans un projet ambitieux et certainement intéressant pour une marque de fast fashion: produire des vêtements et des accessoires fabriqués exclusivement à partir de matériaux durables d’ici 2025.

La fast fashion peut-elle être vertueuse ? C’est la question qui se pose KIABI HUMANcœur responsable de la marque, à l’écoute des demandes des collaborateurs et salariés, et signe en 2020 un nouveau document sur la responsabilité sociale des entreprisesfixer des objectifs pour participer activement à transformation durable.

« La vie est pleine de couleurs », collection capsule de KIABI

Le changement vient avec l’action, mais aussi avec l’arrêt et la réflexion sérieuse. Les consommateurs commencent à exiger ce changement : la transparence est la clé de la crédibilité d’une marque, le sérieux une exigence essentielle. Les désagréments causés par l’urgence sanitaire ont contribué à responsabiliser de nombreuses entreprises de mode, obligées de réfléchir des formules commerciales alternatives, forcément plus éthiques.

KIABI s’engage sérieusement pour contribuer au développement durable de la filière. Il passe en revue le modèle d’organisation, en commençant par chaîne de productionsur lequel intervient à la première personne ne sélectionnant que des fournisseurs et des établissements qui respectent i droits des travailleursgarantie conditions de travail équitables et prouver sensibilité à l’environnement.

Des interventions actives dans le processus de fabrication, dans le circuit logistique et dans le réseau de distribution ont conduit à la production de 1 million de vêtements d’extérieur en polyester recyclés à partir de bouteilles en plastique usagées, 2,5 millions de jeans traités avec la méthode eco-wash, 37 millions de t-shirts e 2,8 millions de bodies bébé en fibres de coton issu de l’agriculture biologique raisonnée.

En Italie, un test est en cours pour entrer dans le « coin d’occasion« , bientôt également disponible sur le web, déjà présent dans les magasins de Cormontreuil et Mérignacoù le personnel peut également intervenir sur les vêtements ne voulaient plus les personnaliser et prolonger leur durée de vie. Il Projet « Second Hand » » permet aux clients de revendre n’importe quelle marque de vêtements et acheter des vêtements en ligne d’occasion. Face au problème des invendus et des restes de tissu, KIABI répond avec propositions vertueuses spécifications d’un motif circulairequi ne conçoit pas un produit fini, mais en évolution continue.

À un moment où la durabilité est à la mode et le greenwashing est un danger même pour un consommateur attentif, c’est juste être transparent et sincère sur les actions promues pour le développement durable, ainsi que sur les erreurs commises. Reconnaître un manque est la première étape nécessaire pour le changement que nous voulons.

Gaston Alexandre

En tant que travailleur indépendant, j’ai décidé de me lancer dans la rédaction d’articles basée sur le buzz international. Je traite ainsi différents sujets, et particulièrement ceux qui ont suscité un énorme engouement dans la société mondiale. J’écris ainsi des articles concernant les thématiques à fort caractère, c’est-à-dire qui créent un véritable impact émotionnel chez le lecteur. Le nombre d’articles que j’écris est variable au quotidien. L’objectif étant de fournir le maximum d’informations pertinentes du jour, vous pouvez alors découvrir de nombreuses publications d’une douzaine de lignes par article.
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