Les dettes du défunt : qui doit les payer ?

Les Au

moment où une personne est portée disparue, les héritiers reprennent leurs biens. Cela signifie que cela se produit dans sa position juridique, active et passive. Les obligations laissées par les décuius doivent donc également être divisées entre les héritiers proportionnellement à leurs actions respectives. Qui le créancier devra-t-il réclamer les dettes du défunt ? Est-ce qu’il pourra demander l’intégralité du paiement à une personne ou pourra-t-il rembourser chaque héritier en fonction des frais acceptés par elle ?

Les dettes du défunt

Au moment du décès du défunt, l’ouverture de la succession a lieu. Ceux qui réussissent les relations actives et passives du défunt sont les soi-disant « appelés à l’héritage », qui n’assument la qualité des héritiers qu’avec l’acceptation de l’héritage.

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Quelles sont les dettes du défunt transmises aux héritiers

Les dettes de succession ne sont rien d’autre que les obligations laissées par le défunt au moment de son décès. Ils comprennent la somme du capital et les intérêts éventuels. Ces derniers continuent de mûrir même après le décès du débiteur.

Les dettes de succession comprennent, par exemple, les frais de copropriété accumulés, les factures de services publics impayées, les impôts, l’hypothèque contractée à la vie par le défunt, ainsi que les versements correspondants qui ont été en retard et non payés. Ce sont les dettes de succession dans leur propre sens, c’est-à-dire celles qui ont surgi dans la vie dans la tête du cuius. Les pondérations héréditaires sont ajoutées, c’est-à-dire que chaque obligation financière est apparue après l’heure d’ouverture de la succession. Cette catégorie comprend les frais funéraires, les dépenses nécessaires à la préparation éventuelle de l’inventaire ainsi que les coûts d’administration de l’héritage ou de la division de celui-ci.

Comment éviter de payer les dettes du défunt

Que se passe-t-il si l’appel d’héritage ne veut pas prendre en charge le fardeau de la dette du défunt ? Il devra renoncer à l’héritage dans les 10 ans suivant l’ouverture de la succession, c’est-à-dire après le décès du défunt (art. 480 du Code civil francen). Cependant, ce terme est plus court si l’héritier est en possession même d’un des biens du défunt. Dans ce cas, vous devrez faire un inventaire dans les 3 mois suivant l’ouverture de la succession et, dans les 40 prochains jours, choisir d’accepter ou non l’héritage. Le non-respect de ces conditions implique l’acceptation pure et simple de l’héritage et, par conséquent, également des dettes du défunt.

Il n’y a pas d’acceptation partielle ou de renonciation à l’héritage. Cependant, l’héritier peut opter pour l’acceptation au bénéfice de l’inventaire. Ce choix est souvent fait lorsque l’image des dettes et des avoirs du défunt n’est pas claire. Dans ce cas également, les mêmes conditions que pour l’acceptation/renonciation s’appliquent et, à la même exception, ci-dessus. Les que tous les créanciers ne pourront pas forcluer les biens personnels de l’héritier, mais uniquement les actifs obtenus par succession. L’héritier ne répond donc aux dettes de succession que dans les limites des actifs de succession et avec les actifs de succession uniquement. Cela signifie que si les actifs de succession ne sont pas suffisants pour payer les créanciers du défunt, ces derniers resteront insatisfaits car ils ne peuvent pas attaquer les actifs personnels de l’héritier, précisément en raison de l’avantage d’inventaire. L’héritier répondra plutôt avec ses propres biens en cas d’acceptation simple de l’héritage.

Les dettes mortes : quoi et comment payer

En cas de succession d’héritiers multiples, ils sont tenus aux créanciers de payer leurs dettes et leurs coefficients de succession personnellement proportionnellement à leur part d’héritage et d’hypothèque pour l’ensemble (art. 754 c.c.). Il n’y a donc aucune relation de solidarité entre eux. Cela signifie que le créancier ne sera pas en mesure de demander l’intégralité du bénéfice d’un seul des cohérents.

Dans

tous les cas, le défunt peut établir, dans son testament, des actions pour la répartition de différentes dettes ou que les cohérents répondent aux dettes de succession en solidarité les uns avec les autres. Malgré cette disposition mortis causa concernant une division différente des dettes de succession, les créanciers peuvent toujours agir au pro quota pour le recouvrement des sommes dues à des cohéritiers individuels. En effet, l’intervention modificatrice du testateur ne produit d’effet que dans les relations internes entre les cohédes et non dans les relations extérieures avec les créanciers héritiers.

Si l’un des héritiers paie au créancier plus que sa part, il peut demander aux autres héritiers de restituer la partie pour laquelle ils doivent contribuer. Le créancier ne peut poursuivre même qu’un seul des héritiers sans l’obligation de mentionner les autres. Toutefois, la décision ne sera valable que pour ceux qui ont participé au procès.

Le principe de la responsabilité pro quota pour les héritiers s’applique également dans le cas des dettes fiscales. L’administration fiscale ne peut faire des réclamations que contre le sujet ayant la capacité d’héritier, c’est-à-dire celui qui a accepté l’héritage. Les sanctions, telles que celles du paiement omis ou retardé des impôts, ne sont jamais transmises à l’héritier. Si la demande de paiement intégrale est reçue, l’héritier pourrait proposer une demande de redressement.

Les créanciers doient-ils attendre jusqu’à 10 ans ?

Un terme de 10 ans pour pouvoir accepter ou non l’héritage. Mais alors les créanciers du décuius devront-ils attendre si longtemps la décision de l’appel ? Notre système voulait protéger les tiers qui ont des créances de crédit contre le défunt.

L’article 481 du Code civil francen permet de recourir à l’autorité pour fixer un délai dans lequel les facturateurs de l’héritage doivent déclarer s’ils doivent accepter ou renoncer. dépensé Les Cals perd leur droit d’accepter.

Gaston Alexandre

En tant que travailleur indépendant, j’ai décidé de me lancer dans la rédaction d’articles basée sur le buzz international. Je traite ainsi différents sujets, et particulièrement ceux qui ont suscité un énorme engouement dans la société mondiale. J’écris ainsi des articles concernant les thématiques à fort caractère, c’est-à-dire qui créent un véritable impact émotionnel chez le lecteur. Le nombre d’articles que j’écris est variable au quotidien. L’objectif étant de fournir le maximum d’informations pertinentes du jour, vous pouvez alors découvrir de nombreuses publications d’une douzaine de lignes par article.
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