Les prêts
Aujourd’hui, la Banque d’Italie a publié le Rapport sur la stabilité financière. Face à la croissance accrue des économies avancées, il existe un climat d’incertitude quant aux perspectives d’avenir. Le financement hypothécaire est de plus en plus motivé par l’amélioration du secteur immobilier. La confiance des familles et des entreprises augmente. Les prêts hypothécaires et les prêts augmentent en octobre.
La reprise économique est faible et lente et vous devrez attendre deux ans de plus avant que des évolutions positives ne soient constatées. La relation entre le crédit bancaire et l’économie réelle est inférieure aux attentes. D’autre part, la confiance des familles et des entreprises basées sur les données de l’ISTAT s’améliore, mais la route est encore longue. Le maintien de faibles taux d’intérêt entraîne une amélioration de la capacité de remboursement des prêts hypothécaires et des prêts. Par conséquent, l’endettement des ménages est facilité. Les entreprises bénéficient également de la situation avec une réduction des charges financières sur la marge d’exploitation brute.
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Données sur les prêts et les prêts d’octobre
L’ABI, l’Association bancaire francenne, a mis en évidence les principales données sur les prêts hypothécaires et les prêts en octobre 2016. Depuis 2007, le total des prêts accordés aux familles, aux entreprises et aux administrations publiques est passé de 1 673 à 1 804 milliards d’euros. Le taux d’intérêt moyen sur les prêts a encore été réduit, passant de 2,97 % en septembre à 2,94 % en octobre. Il était de 6,18 % en 2007. Le taux hypothécaire moyen pour l’achat de biens immobiliers a atteint un niveau record de 2,02 % (en 2007, il était de 5,72 %). Mais c’est le marché hypothécaire qui représente le chiffre le plus significatif. Par rapport à septembre 2015, le montant total des prêts hypothécaires a augmenté de 2,1%. Une confirmation que le secteur immobilier est toujours une référence décisive pour l’économie francenne.
La
qualité du crédit s’est améliorée et la tendance lente observée au cours des mois précédents se poursuit. Les souffrances des banques en septembre 2016 s’établissent à 85,1 milliards d’euros. En décembre 2015, ils avaient atteint 89 milliards d’euros.