Avec un amendement du rapporteur à la DL 50/2017 (Manœuvre corrective), une médiation civile permanente est atteinte en matière de copropriété, de droits réels et de successeurs. Le décret-loi a été converti en loi et, parmi les amendements inclus dans le texte, on peut citer ce qui prévoyait l’annulation de la période transitoire de médiation.
La médiation civile désigne une activité menée par un tiers impartial et visant à aider deux sujets ou plus dans la recherche d’un accord amical pour la composition d’un litige, également avec le libellé d’une proposition de résolution de celui-ci.
L’institut de médiation a été introduit par le décret législatif n° 28/2010. De cette façon, l’expérience de la procédure de médiation ou de conciliation pour toute une série de litiges a été réglementée. Il s’agit notamment des litiges relatifs à la copropriété, aux droits réels, à la division, à l’héritage, aux accords familiaux, au bail, au prêt, à la location d’entreprises, à l’indemnisation des dommages résultant de la circulation des véhicules et des navires, de la responsabilité médicale et de la diffamation par la presse ou par d’autres moyens de la publicité, l’assurance, les contrats bancaires et financiers.
Décret-loi n° 69 du 21 juin 2013, cd. Décret, converti en loi le 9 août 2013, n. 98 a apporté quelques changements dans le domaine de la médiation civile et commerciale. Il avait réintroduit l’obligation de médiation. Cependant, il s’agissait d’une restauration temporaire jusqu’en 2017, afin de résoudre les querelles entre les parties sans avoir à arriver à leur discussion devant le juge de la Cour civile. L’objectif principal était de raccourcir le temps, de le résoudre à l’amiable et de réduire les coûts.
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Médiation civile permanente sur la copropriété, les droits réels et les successeurs
La conversion en loi de la DL 50/2017 comprenait également l’amendement qui annule la période de transition de médiation.
La « Manœuvre corrective » prévue à l’article 11 ter du texte selon laquelle les troisième et quatrième périodes du paragraphe 1-bis de l’article 5 du décret législatif no 28 du 4 mars 2010 sont remplacées par le texte suivant : « À partir de 2018, le ministre de la Justice fait rapport annuellement au Chambres sur les effets produits et les résultats obtenus par l’application des dispositions du présent alinéa. »
Maintenant, l’obligation antérieure de médiation devient permanente. Un choix soutenu par les excellents résultats du processus de médiation. Les statistiques publiées par le ministère de la Justice ont enregistré une baisse des affaires civiles de 12,5 % en 2016. Sans cela d’action aurait diminué le 20 septembre 2017.