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27/06/2014 13:14 Mots clés : nourriture, régime Bien-être
Son nom, aussi exotique que suggestif, est la seule attraction d’Anisakis. Des pays comme la Hollande, la Norvège et la Finlande, ainsi que le Japon, connaissent bien ce parasite qui, s’il parvient à pénétrer dans notre corps, peut provoquer des vomissements, des nausées et des troubles du rythme intestinal.
Dans notre pays, la nourriture orientale, avec de plus en plus d’adeptes de cet art gastronomique millénaire chaque jour, fait que les infections à Anisakis ne sont plus considérées comme « rares » car les sushis ont définitivement cessé d’être une mode passagère pour faire partie du menu espagnol.
Mais l’homme ne se nourrit pas seulement de sushis, de sashimis, de makis et de nigiris. Les larves d’Anisakis vivent dans le tube digestif de nombreuses espèces de poissons telles que le hareng, la sardine, l’anchois, la morue, le merlu, le chinchard ou le maquereau, entre autres. La prévention est donc la clé.
Que faire pour mettre fin à cet « intrus » ?
- La congélation du poisson à -20 °C pendant 48 heures détruit le parasite (dans les réfrigérateurs industriels). Dans le cas des réfrigérateurs ménagers, qui ont moins d’énergie, le temps de congélation devrait aller jusqu’à cinq jours.
- bien cuire tous les poissons, à des températures supérieures à 60 ºC pendant au moins 2 minutes. Cela signifie que les produits entièrement cuits (bouillis ou frits), fumés à chaud et pasteurisés sont sûrs. Il ne s’agit pas de produits fumés à froid ou mal cuits sur le gril ou au micro-ondes.
- De faux mythes. Le vinaigre n’élimine pas le parasite !
Faites
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