Quand les frais de succession sont-ils légitimes ?

L’action de réduction est le moyen juridique qui protège les héritiers légitimes qui sont altérés par la part de l’héritage dû à eux conformément à la loi. Mais quand s’applique-t-il et en quels termes ? Nous allons clarifier le sujet dans notre dernier article.

Dans cet article, vous découvrirez les points suivants :

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Comment fonctionne l’action de réduction ?

Les personnes légitimes qui sont touchées par leur part de légitime après que le testateur a disposé de l’héritage peuvent recourir à l’action de réduction. En fait, l’article 553 du Code civil stipule que :

« lorsque sur les marchandises laissées par le défunt, la succession légitime s’ouvre en tout ou en partie, dans la concurrence de leur légitimation avec d’autres succès, les parties qui reviendraient à ces derniers sont réduites proportionnellement aux limites dans lesquelles il est nécessaire de compléter le frais réservés aux personnes légitimes, qui doivent toutefois imputer à cela, conformément à l’article 564, ce qu’elles ont reçu du défunt en vertu de dons ou d’obligations. »

Cela signifie que cette action vous permet de reconstituer la part de légitime en rendant partiellement ou totalement invalides les actes qui ont causé le préjudice de la même personne. Nous vous rappelons également que la part de légitime est la partie de l’héritage réservée aux personnes légitimes et dont l’auteur du testament ne peut pas disposer librement.

Comment cela se produit-il exactement ?

Selon l’étape du sujet sur lequel elle est entreprise, cette action se divise en trois étapes :

  • l’inefficacité totale ou partielle des dispositions testamentaires et/ou des dons qui dépassent la part dont le défunt aurait pu être déclarée ;
  • une action de remboursement contre les
  • bénéficiaires des provisions réduites, pour rendre la légitime récupérer ce qui est encore présent dans les actifs des bénéficiaires ;

  • nous procédons à l’action de retour contre des acheteurs tiers, qui prévoit les mêmes objectifs que dans le cas précédent.

Exemple d’action de réduction

Supposons qu’un ou plusieurs héritiers croient avoir reçu moins que ce qu’ils sont légalement obligés. Peut-être parce que le défunt a disposé de ses biens par testament, favorisant certains héritiers et laissant d’autres actifs de moindre valeur à d’autres. Ou parce qu’un enfant a reçu des avoirs donnés alors que le parent était encore en vie et ne peut pas prétendre à d’autres droits de succession.

Dans une telle situation, l’héritier qui est blessé par sa part de légitime peut agir devant le tribunal pour rétablir cette partie de l’héritage par une action de réduction.

Combien de temps faut-il par la loi pour demander les frais légitimes ?

En règle générale, l’héritier légitime peut protéger le Dix ans, les autres héritiers ou sujets qui ont bénéficié des atouts du décuius. En ce qui concerne le début du délai de prescription, cela varie selon que le préjudice de la part du légitime provient des dispositions du testament ou des dons en direct du décuius.

En résumé, le délai de dix ans commence :

  • à partir de l’ouverture de la succession si le préjudice de la part légitime provient de dons ;
  • de l’acceptation de l’héritage si le préjudice provient de dispositions le fera.

Que se passe-t-il si l’héritier responsable de la restitution de l’actif préjudiciable à la légitime l’a vendu ou fait don à des tiers ? Dans ce cas, les personnes légitimes ne peuvent agir contre ce dernier pour demander la restitution de l’immobilier enregistré ou du bien meuble que si :

  • 20 ans ne se sont pas écoulés depuis la transcription du don ;
  • la décision de réduction contre le donataire est définitive ;
  • les avoirs du donataire ne sont pas suffisants pour répondre aux réclamations du légitime ;
  • le troisième acheteur n’a pas payé le correspondant en espèces des marchandises à être retourné.

Action de réduction et don

Il arrive parfois que la part légitime soit blessée par un acte de don alors que le défunt était encore en vie. Par exemple, lorsque le défunt fait un don à une personne en dehors de l’axe successoral parce qu’il n’est pas en bonne relation avec ses enfants ou son conjoint.

Même dans un cas similaire, les héritiers légitimes peuvent faire valoir leurs droits par une action de réduction. L’article 559, à cet égard, stipule que les dons sont réduits par rapport au dernier, puis passent au front. Cette réduction des dons semble donc être sujette à l’incapacité de l’héritage.

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Gaston Alexandre

En tant que travailleur indépendant, j’ai décidé de me lancer dans la rédaction d’articles basée sur le buzz international. Je traite ainsi différents sujets, et particulièrement ceux qui ont suscité un énorme engouement dans la société mondiale. J’écris ainsi des articles concernant les thématiques à fort caractère, c’est-à-dire qui créent un véritable impact émotionnel chez le lecteur. Le nombre d’articles que j’écris est variable au quotidien. L’objectif étant de fournir le maximum d’informations pertinentes du jour, vous pouvez alors découvrir de nombreuses publications d’une douzaine de lignes par article.
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