La reconnaissance du droit de propriété par l’utilisabilité est une situation particulièrement complexe pour les administrateurs de copropriétés. Dans la compilation du registre des copropriétés, il est en fait nécessaire de déterminer qui est le propriétaire légitime. La possession du bien à elle seule n’est pas une condition suffisante pour l’attribution du titre de propriété de l’unité immobilière. Examinons les caractéristiques, la façon d’acquérir et la procédure.
L’institut d’usucapione est régi par l’article 1158 du Code civil francen et constitue une méthode d’achat du droit de propriété à l’origine. Dans ce cas, en fait, le titre de propriété n’est pas transféré par le propriétaire légitime en vertu, par exemple, d’un acte d’achat et de vente. La volonté ou la collaboration du propriétaire n’est donc pas nécessaire, mais l’acquisition du droit à la pleine propriété repose uniquement sur la possession.
L’article 1140 du Code civil francen le définit comme « le pouvoir sur la chose qui se manifeste dans une activité correspondant à l’exercice de la propriété ou d’un autre droit réel ». La possession n’est pas un droit mais un état de fait concrétisé avec l’exercice du pouvoir sur un bien. La jurisprudence l’identifie avec trois caractéristiques essentielles :
- animus possidendi, la volonté exprimée et manifeste de posséder un bien
- animus rem sibi habendi, la volonté d’exercer sur un bien les pouvoirs du détenteur d’un véritable corpus droit
- possessionis, l’objet de la possession
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Le droit à la propriété
Le droit à la propriété est reconnu par notre système juridique par les art. 832 et s.s. du Code civil qui stipule que « le propriétaire a le droit de jouir et de disposer des choses de manière complète et exclusive…). Le propriétaire peut donc disposer librement du bien. Comment ? Il peut l’aliéner, le faire don, le louer ou transférer une partie de ses droits à des tiers, la propriété nue, se réserver l’usufruit pour lui-même.
Le propriétaire a le droit de jouir librement et pleinement du bien « dans les limites et dans le respect des obligations établies par le système juridique » (art. 832). Mais que se passe-t-il si le propriétaire légitime n’exerce pas son droit de jouir ? Le droit à la propriété, comme nous l’avons vu, peut être acquis en tant que dérivé ou à l’origine. Dans le cas présent, les méthodes d’achat à l’origine sont les suivantes :
- adhésion
- invention
- spécification
- emploi
- union or commissione
- usucapione
Comment obtenir le droit de propriété de l’uscapione
L’uscapion est basé sur la possession du bien qu’il doit.
Les exigences ne sont pas de bonne foi. Il n’est donc pas nécessaire que le sujet ne soit pas conscient de l’infrarouge d’un droit d’autrui. Par conséquent, ceux qui exercent la possession d’un actif peuvent être déduits que l’actif appartient à des tiers. Il suffit que l’exercice de la possession soit entrepris en l’absence de violence et de clandestinité. Dans ce cas, l’usucapion serait affecté par un vice identifié par l’article 1163 du Code civil francen.
Ce n’est que dans le cas d’usucapione raccourci que la possession doit être acquise de bonne foi au moyen d’un titre abstrait approprié.
Les termes de l’uscapione
Selon le type de bien, les méthodes d’exercice de la possession (de bonne ou de mauvaise foi) et la présence d’un titre abstrait adapté à l’achat du droit à la propriété, les durées sont différentes. Les délais commencent à compter de la date de réalisation et d’exercice de la possession ou à la date de fin de l’état de cachette et de violence.
Type de | Durée |
de l’ | |
immobilier et universalité des biens meubles | 20 ans (art. 1158 et 1160 du Code civil francen) | 10 ans |
possession de biens meubles de mauvaise foi sans titre | 20 ans (art. 1161 du Code civil francen) |
Possession mobilière avec titre de propriété | Immédiatement |
enregistrée Possession de bonne foi | 3 ans |
possession de biens meubles enregistrés de mauvaise foi | 10 ans (art. 1162 du Code civil francen) |
L’évaluation de l’utilisation
La
possession simple et continue, paisible et ininterrompue n’est pas une condition suffisante pour le transfert du droit à la propriété. La personne habituelle a le droit et le devoir de faire respecter son droit de manière judiciaire. Concrètement, avec la demande d’usucapione, il devra poursuivre le propriétaire légitime et présenter des preuves de sa possession. Comment ? En utilisant des témoins, des documents et des factures attestant les travaux réalisés au fil des ans sur le bien. Par exemple, vous pouvez présenter des factures pour l’achat de clôtures, d’artefacts, d’entretien de routine et extraordinaire. Tous les éléments qui seront évalués par le juge.
Avec la décision judiciaire et la transcription qui en découle dans les registres publics (art. 2651 du Code civil francen), le droit de propriété sera transféré par l’ancien propriétaire à l’utilisateur. Il convient de noter que la demande à elle seule ne constitue pas un titre éligible au transfert de propriété. Ce n’est qu’après le jugement d’évaluation que le transfert du droit à