Quelles sont les sanctions si l’employeur n’a pas besoin d’un certificat criminel ?

Le certificat de casier judiciaire demandé par l’employeur est obligatoire si vous avez l’intention d’embaucher une personne pour mener des activités impliquant des contacts directs et réguliers avec des mineurs. Que se passe-t-il si l’employeur ne remplit pas cette obligation ? Voyons cela dans cet article.

Décret législatif no. Le 2 octobre 2018, n. 120, a introduit une série de dispositions pour la révision des règles du casier judiciaire.

En particulier, l’article 4 prévoit des modifications au texte unique sur le casier judiciaire sur les services de certification, qui entrera en vigueur un an à compter de la date de sa publication au Journal officiel, puis à compter du 26 octobre 2019.

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Qu’est-ce qu’un certificat criminel ?

Le certificat criminel est l’un des documents qui peuvent être demandés au bureau du casier judiciaire, présent dans chaque ministère public.

Il contient les mesures pénales définitives se rapportant à un sujet, à l’exception de celles pour lesquelles le Texte unique ne prévoit pas de mentionabilité.

Il est régi par l’art. 25 de la T.U., abrogé par le décret législatif 122/2018. Cela signifie que, à partir du 26 octobre 2019, le certificat pénal ne sera plus régi par l’art. 25 mais sera incorporé à l’article 24, également modifié par le décret législatif 122/2018, intitulé « certificat du casier judiciaire demandé par la partie intéressée ».

Qui peut demander le certificat criminel ?

Il peut être demandé par la partie intéressée, ou par une personne déléguée par elle, avec un document d’identification valide, en utilisant le modèle approprié.

La demande peut également être faite directement par l’employeur, s’il a l’intention d’embaucher une personne pour mener des activités impliquant des contacts directs et réguliers avec des mineurs.

Le certificat criminel est valable 6 mois à compter de la date de délivrance.

Certificat de casier judiciaire requis par l’employeur

La discipline relative au certificat criminel demandé par l’employeur se trouve à l’article 25 bis du texte consolidé. Cette disposition a été insérée par l’article 2, paragraphe 1, du décret-loi no 39/2014 et il est donc prévu que le certificat pénal soit « exigé par la personne qui a l’intention d’employer une personne au travail pour mener des activités professionnelles ou bénévoles organisées impliquant des activités directes et volontaires. contacts réguliers avec des mineurs ».

L’objectif est de vérifier l’existence de :

  • condamnations , 600 quatres, 600 quater.1, 600 quinquies et 609 sous-decies du Code criminel des
  • sanctions interdictives pour l’exercice d’activités impliquant des contacts directs et réguliers avec des mineurs.

Ce certificat doit être demandé par l’employeur privé, également destiné à être association/organisation bénévole, lorsqu’il a l’intention de conclure un contrat de travail et non lorsqu’il veut se prévaloir de formes simples de collaboration.

Sanctions pour l’employeur qui n’a pas besoin d’un certificat criminel

L’article 2, paragraphe 2, du décret législatif no 39/2014 dispose également que : « L’employeur qui ne remplit pas l’obligation énoncée à l’article 25-bis du décret du Président de la République du 14 novembre, n. 313, est soumis à la sanction administrative pécuniaire pour le paiement d’une somme de 10 000,00 euros à 15 000,00 euros. »

L’employeur qui embauche du personnel destiné à avoir des contacts directs et réguliers avec des mineurs doit demander au travailleur le certificat criminel du casier judiciaire afin de vérifier qu’il n’a pas commis certains crimes contre eux. S’il ne remplit pas cette obligation, l’employeur devra payer une pénalité comprise entre 10 000 et 15 000 euros.

Mais attention à ce que ce qui a été énoncé jusqu’ici sur le certificat pénal demandé par l’employeur, à partir du 26 octobre 2019, subira quelques modifications, car l’article 25-bis est également soumis à l’article 25 bis a été révisé par le décret législatif 122/2018. En particulier :

sous

  1. le titre, le mot « criminel » est supprimé ;
  2. au

  3. paragraphe 1, les mots « Le certificat criminel du casier judiciaire visé à l’article 25 » sont remplacés par le texte suivant : « Le certificat du casier judiciaire visé à l’article 24. »

Source : Ministère de la justice

Gaston Alexandre

En tant que travailleur indépendant, j’ai décidé de me lancer dans la rédaction d’articles basée sur le buzz international. Je traite ainsi différents sujets, et particulièrement ceux qui ont suscité un énorme engouement dans la société mondiale. J’écris ainsi des articles concernant les thématiques à fort caractère, c’est-à-dire qui créent un véritable impact émotionnel chez le lecteur. Le nombre d’articles que j’écris est variable au quotidien. L’objectif étant de fournir le maximum d’informations pertinentes du jour, vous pouvez alors découvrir de nombreuses publications d’une douzaine de lignes par article.
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