Sanctions administratives fiscales et responsabilité du directeur La figure du

directeur général est régie par les articles 2380 et suivants. du Code civil d’une manière assez détaillée. En fait, le code nous donne non seulement une définition du PDG, mais explique également quels sont leurs devoirs et leurs devoirs. Il ne peut être ignoré de l’analyse du décret-loi du 18 décembre 1997. En particulier, dans cette brève analyse, nous allons voir dans quelle mesure le PDG réagit en cas de sanctions administratives.

Sanctions administratives fiscales

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Décret législatif du 18 décembre 1997

L’

article 11 du décret législatif en question établit quels sont les paramètres sur la base desquels déterminer la responsabilité en cas de violations et de sanctions administratives connexes. En fait, le législateur a jugé nécessaire d’élaborer de nouvelles règles visant à punir non seulement le complexe d’individus qu’ils forment, mais aussi la société et l’individu responsable de la violation.

Cependant, une telle vision a montré une disparité flagrante dans le traitement, car s’il est vrai que la violation (évidemment) a profité à la société, celle qui, dans la plupart des cas, a été réellement puni, c’était l’individu, dans la plupart des cas l’administrateur.

C’est

précisément en raison de cette inégalité de traitement et de ses effets invasifs que le législateur a décidé que la responsabilité en cas de violation des sanctions fiscales devait incomber uniquement à l’entité juridique, c’est-à-dire à l’entreprise. Par conséquent, le fardeau de la sanction ne doit pas incomber à la personne qui l’a commise, mais à l’intégrité globale des membres. Ce dernier peut éventuellement engager une action en responsabilité contre celui qui a commis la violation. De toute évidence, ces considérations ne peuvent pas être valables pour les entreprises de personnes, compte tenu de leur structure caractéristique, souvent également de façon individuelle, ou dans tous les cas, d’une structure qui prévoit une responsabilité directe du partenaire (et donc aussi de l’administrateur).

Un

discours différent doit être prononcé si la violation n’est pas une infraction mais un crime. Dans ce cas, la seule personne qui l’a commise doit être de répondre à la violation conformément au principe immanent de responsabilité personnelle en droit pénal. Pour proposer des exemples concrets, des déclarations frauduleuses concernant l’activité économique et des actifs, le représentant légal (ou le directeur) de la société répond : faux bilan, faillite frauduleuse, etc., ne sont que quelques-uns des crimes auxquels le directeur et/ou le représentant légal d’une entreprise peuvent répondre.

Le

Reprenant les échelons du discours relatif à la responsabilité civile des administrateurs dans l’exercice de leurs fonctions (y compris les taxes et taxes), la responsabilité est répartie comme suit :

  • les actionnaires vis-à-vis de la société ;

  • en ce qui concerne des membres individuels et/ou des tiers, s’ils sont gravement ou malveillants ;

  • contre les créanciers sociaux pour ce qui est lié aux dommages causés aux actifs de l’entreprise, auxquels ils ont lié leur crédit.

Ce n’est pas un hasard si dans la liste courte ci-dessus, la première responsabilité mentionnée est celle de l’entreprise. En fait, cette responsabilité est étroitement liée au défaut ou à une mauvaise exécution des fonctions de l’administrateur, qui est le garant de l’intégrité du capital. Donc, si l’administrateur ne répond pas directement à l’infraction fiscale, il répond sûrement de son travail devant l’assemblée des actionnaires.

En conclusion, les administrateurs ne répondent pas directement aux autorités fiscales concernant les violations fiscales (à moins que ces violations ne constituent pas un crime), mais ils répondront pour leur entreprise.

Comment vérifier l’existence de sanctions administratives contre une entité juridique

Pour vérifier l’existence de sanctions administratives contre une personne morale (société de personnes, sociétés de capitaux, sociétés par actions, entités commerciales et non commerciales ayant des personnalités légales), il est possible de recourir au certificat de sanctions administratives du bureau d’enregistrement et à la certificat en attente de chargement de la Revenue Agency.

Le certificat du registre des sanctions administratives dépendantes de la criminalité atteste de l’existence ou non de sanctions administratives payables uniquement par des personnes morales. Les mesures judiciaires finales relatives aux sanctions administratives imposées aux organismes, entreprises et associations y sont ensuite rapportées. Le certificat du Greffe des sanctions administratives est délivré par les archives judiciaires du ministère public et il est possible de le demander en ligne.

Le certificat de fret en attente certifie l’existence ou non de charges en attente sur des personnes morales, enregistrées dans le registre des impôts, aux fins de taxes directes, de TVA, de taxes indirectes, de taxes commerciales indirectes et d’autres taxes indirectes. Dans ce cas également, il est possible de demander le certificat en ligne.

Sources réglementaires

Décret législatif n° 471 du 18 décembre 1997

Art. 7 Décret législatif n° 269 de 2003

Art. 2392 e , Flash Lawyer

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Yseult Daigle

Les sources de mes articles sont recueillies non seulement à travers mes recherches, mais aussi mes expériences personnelles en tant qu'homme. J’ai la chance de pouvoir m’intéresser aux dernières tendances en termes de style ou d'allure. Mais j'ai tout de même un penchant pour les articles généralistes.
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